Elle marche vite, ses talons ricochent sur les pavés,
le rythme ralentit, le galet coule.
La voilà sous l'eau, à regarder la surface par en-dessous,
la réalité à travers des masses étouffantes.
Elle ne criera pas " je me noie ", l'aide, ça ne se demande pas
surtout quand on risque d'entraîner les autres dans la noirceur.
La voilà au fond, la lumière est lointaine, faible et mourante.
Après tout, là naissent les révolutions, non ?